Thursday 19 August 2010

Book 3, chapter 4, footnote 03

[De la richesse commerciale, Sismondi, 1803, Original, 263-264]

(3) Dernièrement, un négociant estimé s’était associé à un homme de lettres, pour ouvrir à Genève une école pratique de, commerce, fondée à peu prés sur les principes exposés ci-dessus; des circonstances malheureuses, et qui tiennent aux intérêts particuliers des instituteurs, ont fait manquer cette entreprise au moment où son succès paraissait assurés. Peut-être y avait-il à Rome des écoles, pour les arts et le commerce, afin de suppléer à l’apprentissage inconnu aux anciens. Columelle ne connaissait de son temps que la seule agriculture qui n’eût pas des maitres particuliers. De Re Rustica. L. I. p. 2.

[Translation]

(3) Recently a respectable merchant was associated with a man of letter, in order to open a practical school of commerce in Geneva, almost exclusively upon the principles expounded above. Circumstances which are unhappy and dependent upon particular interests of instructors made this enterprise impossible even when its success seemed certain. Probably, there were in Rome some schools for arts and commerce, for the purpose of supplying the absence of apprenticeship in the ancient age. Columelle knew no trade which had no individual masters in his times, except agriculture. De Re Rustica, book 1. p. 2.