Saturday 25 April 2009

Book 1, chapter 6, paragraph 02

[De la richesse commerciale, Sismondi, 1803, Original, 159-60]

   L’existence du capital immatériel a contribué probablement plus que toute chose à confondre les idées sur la nature des capitaux qui constituent la richesse mobiliaire [mobilière]. L’on a pu observer qu’il y avoit [avait] une classe de riches, désignés plus particulièrement par le nom de capitalistes, dont la richesse ne consistoit [consistait] point en propriétés foncières, non plus qu’en meubles, en marchandises, ou en objets propres à la consommation: qu’elle étoit [était] même absolument invisible et immatérielle, à moins qu’on ne voulût considérer comme la constituant, les titres au moyen desquels ils en jouissoient [jouissaient] ou les papiers contenus dans leur portefeuille.

[Translation]

   The existence of intangible capital has contributed, probably more than any other, to confusion of ideas upon the nature of capital which constitutes the movable wealth. You have seen that there is a class of the rich, designated more particularly as capitalists, whose wealth consists neither in landed property, nor in movables, in commodities, or in objects adequate to consumption: that theirs is even completely invisible and intangible unless the titles by means of which they enjoy consumption, or the bills contained in their portfolio, is regarded as constituent of theirs.