Wednesday 28 July 2010

Book 3, chapter 3, footnote 05

[De la richesse commerciale, Sismondi, 1803, Original, 235]

(5) Ce n’est que sur ces vins distingués, qui seront toujours recherchés par les riches consommateurs, vins dont la nature elle-même a donné le monopole à la France, puisque rien ne peut être mis à leur place, que je crois possible d’établir un droit à la sortie; quant aux vins ordinaires, à ceux, par exemple, qui sortent des Chaix de Marseille, comme non seulement tous les vins des autres pays, mais même la bière, le cidre, et toutes les autres boissons leur font concurrence sur les marchés étrangers, on ne pourrait les soumettre à des droits sans diminuer leur consommation à l’extérieur.

[Translation]

(5) I believe it possible only to levy a tax upon exportation of such distinguished wine as will always be sought by rich consumers, the nature of which in itself has given the monopoly to France because there can be no substitute for it. As for ordinary wine, such as that from wineries in Marseille, since not only all species of wine from other countries but also even beer, cider, and all other drinks compete with it for foreign markets, it would be impossible to impose taxes upon it without diminishing its consumption in foreign countries.