Wednesday 21 April 2010

Book 3, chapter 2, paragraph 35

[De la richesse commerciale, Sismondi, 1803, Original, 195]

   Par le monopole, on a forcé les fabricants de Troyes à produire, n’importe à quel prix; et on les a empêché de détourner aucune partie de leurs capitaux pour perfectionner leurs métiers. Car le cit. Bruslé remarque que si l’on n’adopte aucun nouveau mécanisme, c’est moins faute de connaissances que de fonds. La même cause empêche l’adoption du cylindre, et sa substitution aux planches d’impressions, dans les trois fabriques de toiles peintes de ce Département, qui en produisent quatorze mille pièces par année.

[Translation]

   By means of monopoly, manufacturers in Troyes have been forced to produce, irrespective of price; and they have been prohibited from directing any part of their capitals for improving their businesses. Since the said Bruslé notes that if you adopt no new machine, this is not so much for lack of knowledge as of stocks. The same cause prevents the three manufactories of print in this department, which produce 14,000 pieces a year, from the adoption of cylinders and their substitution for boards of printing.