Wednesday 1 July 2009

Book 1, chapter 9, paragraph 01

[De la richesse commerciale, Sismondi, 1803, Original, 245-46]

Nous avons vu que le capital accumulé étoit [était] nécessaire pour mettre en mouvement un travail productif, et qu’il étoit [était] également nécessaire aux propriétaires de ce capital de le faire travailler pour qu’il devînt fructueux pour eux. Nous avons vu encore que pouvant maintenir à leur choix la classe d’ouvriers qu’ils croyoient [croyaient] la plus profitable, les capitalistes lorsque le commerce étoit [était] libre, réduisoient [réduisaient] tous les genres d’industrie au même niveau d’avantages. Il ne nous reste plus qu’à examiner comment une nation pauvre, avec un capital donné qui s’accroît progressivement par l’économie et la liberté du commerce, parvient successivement à faire végéter tous les différen[t]s rameaux de l’industrie nationale.

[Translation]

We have seen that the accumulated capital is necessary to set productive labour in motion, and that it is also necessary for owners of this capital to put it at work so that it may be fruitful for them. Furthermore, we have seen that, since capitalists can maintain the class of labourers who they believe are the most profitable as they like, they carry on all sorts of industry to the same rate of profit with trade free. Now all we have to examine is how a poor nation manages to make all the different branches of the national industry successively grow, with a given capital which progressively grows thanks to saving and to free trade.