Thursday 7 January 2010

Book 2, chapter 7, paragraph 11

[De la richesse commerciale, Sismondi, 1803, Original, 95]

   Avant la révolution, dans un temps où la France était resserrée dans des limites bien plus étroites, où d’anciens abus diminuaient encore les recettes, et où tant les ports de lettres que le tarif des messageries étaient bien moins coûteux, ces deux impôts rendaient:
   Poste aux lettres. L. 9,620,000.
   Messageries. 1,500,000.
      11,120,000.
   (Necker Compte rendu(2)).

[Translation]

   Before the revolution, when France was confined to much narrower limits, former abuses still diminished the revenue, and both carriage of letters and fares of transports were much less high, these two taxes afford the following:
   Post. L. 9,620,000.
   Transports. 1,500,000
      11,120,000.
   (Necker, Compte rendu au Roi(2)).