Thursday 11 March 2010

Book 3, chapter 1, paragraph 10

[De la richesse commerciale, Sismondi, 1803, Original, 152]

   Le capitaliste qui ne consulte que son propre intérêt, travaille donc toujours pour celui de la nation, soit qu’il quitte un art de luxe pour un art nécessaire, ou qu’il abandonne un art nécessaire pour un art de luxe; dans l’un et l’autre cas, il obéit à la volonté nationale, qui se manifeste par la hausse ou la baisse des profits mercantiles.

[Translation]

   The capitalist who consults his own interest alone, therefore, always works for that of the nation, whether he quits a trade of luxuries for necessaries, or necessaries for luxuries. In both the cases, he obeys to the national preference, which is shown in height or lowness of mercantile profits.